

OLED805 de Philips : géniale, si seulement le black crush n'arrivait pas si souvent

Dans l'ombre des leaders du marché, Philips construit aussi de bonnes TV OLED. C'est du moins ce que disent nos lecteurs. Il est temps de les tester aussi. Alors, l'éloge est-il justifié ?
Je n'ai encore jamais testé de TV Philips. Et cela n'a pas échappé à notre lecteur tel0852 qui n'a pas hésité à me le faire remarquer dans les commentaires sur mon article au sujet de Google TV.
[...] Tant qu'on parle de ça, j'ai une TV Philips et je suis un peu déçu du peu de mentions de la marque dans vos articles. Y a-t-il une raison pour laquelle seuls Sony et TCL sont régulièrement cités ?
tel0852 a raison. Mais il n'y a pas de raison particulière à l'absence de Philips, si ce n'est que je m'intéresse en premier lieu aux téléviseurs les plus plébiscités par nos lecteurs. Du moins en termes de clics. Si vous n'êtes toutefois pas d'accord avec ma sélection, n'hésitez pas à le signaler dans les commentaires et à me dire quelles TV vous souhaitez que je teste. Je verrai ensuite ce que je peux faire.
Actuellement, Sony, TCL et LG reçoivent, en tous cas, plus de clics que Philips en ce qui concerne les téléviseurs. Jusqu'à maintenant. Car je viens de remarquer que Philips fabrique de très bonnes TV OLED depuis un ou deux ans.
Il est temps de s'intéresser d'un peu plus près au modèle 2020.

Une dernière chose avant de commencer : la TV 55 pouces du test a été mise à disposition par Philips. En raison de la pandémie, j'ai dû l'apporter moi-même dans l'appartement, la déballer et la monter. Le livreur n'a donc pas eu le droit à son petit café. Désolé, Thomas. La prochaine fois, peut-être. Et pour la peine, il y aura même du gâteau.
UHD, HDR et le meilleur mode d'image
Commençons par les connecteurs.
- 3 ports HDMI 2.0b (HDCP 2.3) ;
- 3 ports ARC, aucun avec l'eARC ;
- toutes les entrées prennent en charge les technologies HLG, HDR10, HDR10+, Dolby Vision et Dolby Atmos ;
- 1 sortie pour Toslink ;
- 2 ports USB 2.0 ;
- 1 port LAN ;
- Wi-Fi 802.11 ac, 2x2 Dualband ;
- Mode auto-low-latency (ALLM) pour les gamers.

Le HDMI 2.1 manque à l'appel. Les gamers sont sur le qui-vive. Pour tirer pleinement parti des consoles de nouvelle génération, il faut disposer d'une bande passante suffisante pour traiter les grandes quantités de données. À savoir une qualité UHD HDR et 120 images par seconde. La technologie HDMI 2.0b offre une bande passante légèrement inférieure à celle du HDMI 2.1. Les jeux ne tournent donc qu'en UHD HDR avec 60 images par seconde.
Bref. Cette TV n'est de toute façon probablement pas destinée aux joueurs. Même en mode jeu, l'OLED805 ne descend pas en dessous d'un input lag de 33,3 millisecondes. La valeur de référence pour les bons téléviseurs gaming est d'environ 20 millisecondes.
Parlons de l'image.

Jurassic World : Fallen Kingdom, sorti en 2018, est censé me donner un premier aperçu. J'ai vu ce film sur tellement de téléviseurs que je reconnais rapidement ce que j'aime ou non dans l'image, ses faiblesses et ses forces.
En parlant de cela, je reviendrai plus tard sur « Ambilight », la marque de fabrique de Philips.

Source : UHD-Blu-Ray, qualité HDR10. Timestamp : 00:05:07
Dans son ensemble, l'image paraît sombre. Je suis surpris. Les TV OLED sont connues pour leurs excellentes valeurs de noir, et pour conserver les détails à l'image, malgré le « véritable noir ». Ici, les choses sont bien différentes. Dans la gueule du T-Rex affamé, par exemple. Il semble ne faire qu'une bouchée des détails en même temps qu'il avale le pauvre technicien du parking. Les papilles sur sa langue par exemple, ou même ses dents. À gauche de la gueule également, on perd l'aspect cuir de la peau du dinosaure, ou les détails des buissons de la jungle verte.
Comparons l'image avec celles de la concurrence. Avec l'A8 de Sony, dont j'ai beaucoup aimé le rendu des couleurs dans cette scène lors de mon test.
D'abord l'image de la Philips OLED805 en grand :

Source : Septembre 2020
Maintenant, l'A8 de Sony à titre de comparaison :

Source : Septembre 2020
Pas mal, non ? Rien ne vaut un noir beau et riche comme celui de Philips, qui offre un contraste avec le punch bien distinctif de l'OLED ; l'image de l'A8 de Sony paraîtrait presque pâlotte en comparaison. Mais prêtez un œil aux zones sombres de l'image. Vous voyez la quantité de détails perdus là-haut ?
Il faut changer ça.
Normalement, je mets un point d'honneur à tester les téléviseurs avec la configuration par défaut, comme à la sortie de l'usine. Je veux savoir la représentation qu'ont les fabricants de l'image idéale. Mais aujourd'hui je dois faire une exception. Jurassic World : Fallen Kingdom n'est pas un simple exemple, mais bien la référence, quand il s'agit de constater ou non un problème de « black crush ». D'autant plus qu'un test qui radote ligne après ligne que la configuration par défaut des niveaux de noir est exagérée ne vous apportera rien du tout.
Intéressons-nous dons aux paramètres de l'image. Avec LG, par exemple, vous pouvez corriger spécifiquement les niveaux de noir. Chez Philips, je ne trouve aucune option de réglage de ce type. Uniquement la luminosité, le gamma, la balance des blancs et le contraste. Ça craint. Je me vois déjà, à chaque fois que je change de programme, bidouiller l'image jusqu'à ce qu'elle me convienne enfin, puisque toutes les sources ne déclenchent pas un « black crush » de même intensité. Et selon le contenu, je modifie aussi des paramètres que je ne voulais pas changer.

Heureusement, parmi les modes d'image prédéfinis, je trouve au milieu des traditionnels modes « Standard », « Vif », « Jeu » et « Film », un nouveau mode fort intéressant : « IA ». La quatrième génération de ce mode, même. Cela active le « P5 Perfect Picture Engine » de Philips. Le P5 inclut les cinq P suivants :
- Perfection de la source.
- Contrastes parfaits.
- Couleurs parfaites.
- Fluidité parfaite.
- Netteté parfaite.
Parfait. Je tiens à féliciter le département marketing de Philips pour son discours particulièrement dynamique. En fait, le mode IA permet au processeur de la TV de traiter, excusez le langage, « the shit out of the source ».
En bon français : le processeur, soit le cerveau de la télévision, reçoit les signaux d'image, les traite et affiche ensuite une image. Il traite l'image, c'est-à-dire qu'il supprime le bruit, intensifie les couleurs, lisse les bords, rend dans ce cas particulier l'image plus fluide grâce à l'insertion d'écrans noirs (Black Frame Insertion), calcule les pixels manquants si la source n'est pas UHD et augmente le contraste. Tous les processeurs de TV font la même chose. Le mode IA est censé rendre le tout plus intelligent.
Petite note amusante : le marketing de Philips parle de contrastes plus profonds en mode IA, ce qui revient à dire quelque chose comme « la viande goûte particulièrement le violet aujourd'hui ». Bien tenté, Philips.
Voyons donc ce que donne le mode IA :

Source : Octobre 2020
Et le mode standard à titre de comparaison :

Source : Octobre 2020
En mode IA, on constate que le Black Crush est bien moins important sans pour autant rendre l'image pâle. L'intelligence artificielle qui, d'après Philips,décide d'elle-même si et à quel point elle corrige l'image, ne s'est donc pas contentée d'augmenter la luminosité de l'image, ce qui aurait donné un côté pâle à l'ensemble des couleurs. Elle a ici visiblement choisi d'augmenter la luminosité de l'arrière-plan, de le rendre plus net et de renforcer le contraste. Et, en effet, le vert de la jungle apparaît bien plus vif et les détails de peau sont plus nets. On aurait presque l'impression qu'on peut la toucher. Très bien.
Comparons maintenant cette image avec celles des TV concurrentes.

Source : Octobre 2020

Source : Septembre 2020

Source : Août 2020

Source : Juin 2020
L'OLED805 de Philips se situe quelque part entre le naturel du Sony A8 et la reproduction percutante des couleurs du LG GX, que j'ai testé en août dernier. Et, je dois l'admettre, j'aime bien la position de l'OLED de Philips, même s'il est vrai que le noir pourrait être encore un peu moins écrasant.
Encore une chose : j'adore ce que le processeur fait en mode IA avec l'affichage des mouvements : tout semble extrêmement fluide. Surtout dans les scènes d'action, entre les plans de caméra frénétiques et les mouvements rapides. Les protagonistes courent, trébuchent et tentent d'échapper aux dinosaures en titubant. J'ai essayé de filmer la scène, mais on ne voit aucune différence à la caméra. On ne s'en rend vraiment compte que lorsque l'on est face à l'écran.
En revanche, si vous n'appréciez pas les images extrêmement fluides, comme une grande partie des cinéastes de la vieille école qui sont habitués à seulement 24 images par seconde, vous pouvez réduire ou même désactiver le paramètre qui fluidifie l'image dans le mode IA. Ça fait partie des cinq « P » du mode IA. On peut également garder un peu de bruit d'image. Souvenez-vous de cette histoire des cinéphiles de la vieille école et tout ça. Un point pour Philips, ils ont pensé à tout le monde.
Passons à la scène suivante.

Source : Blu-ray UHD, HDR 10 Timestamp : 00:42:22
Seul sur Mars de Ridley Scott est un bon film. Il est aussi idéal pour tester les TV, surtout pour les prises de vue en extérieur. Le soleil brûlant donne, en effet, des scènes extrêmement lumineuses dans ce désert infernal. Là où il y a de la lumière, il y a aussi de l'ombre. Surtout au niveau des formations rocheuses qui, comme des îles en pleine mer, ponctuent l'océan de dunes orangées qui s'étendent jusqu'à perte de vue.
J'ai choisi cette scène parce qu'elle donne du fil à retordre aux processeurs des téléviseurs avec ses forts contrastes. Traiter une image sombre ou une image lumineuse, c'est une chose... Les choses se corsent quand l'image mélange ces deux extrêmes.

Source : Octobre 2020
La couleur orange est assez éclatante. Tant mieux, c'est exactement ce qu'on veut dans cette scène. Cela n'a rien à voir avec les téléviseurs dans les magasins qui tentent de se démarquer avec des valeurs de contraste complètement artificielles. Mais là encore : malgré le mode « HDR AI », on perd beaucoup de détails dans les rochers. Il devrait y avoir plus de relief, de rugosité. Plus de structure. Surtout au niveau des formations rocheuses au fond du plan.
Mais avant que vous ne voyiez que du négatif pour cette TV, laissez-moi clarifier une chose. Les autres fabricants ne passent pas le test plus brillamment. Et pour leur défense, c'est une scène particulièrement compliquée à traiter pour les processeurs de TV.
Dernière scène UHD HDR.

Source : Disney+, qualité Dolby-Vision. Timestamp: 01:14:08
Le film de Marvel Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 est une sorte d'orgie pour processeur de TV. De la planète d'or des souverains qui brille de mille feux au fantastique kaléidoscope de couleurs de la planète vivante Ego. La fausse timidité serait mal placée.

Source : Octobrer 2020
L'OLED805 de Philips ne fait certainement pas preuve de fausse pudeur. Le processeur tire le meilleur parti des couleurs qu'il peut et maintient étonnamment bien l'équilibre entre les teintes claires et foncées. Pour une fois, aucun détail n'est perdu. Chaque brin d'herbe dans le rouge pittoresque de la surface de la planète est merveilleusement bien défini. Et le soleil en arrière-plan reste bien visible comme une sphère sur l'horizon orange-turquoise. Cela témoigne d'une meilleure gradation de la luminosité.
Jusqu'à présent, je suis extrêmement satisfait de l'OLED805 de Philips. Surtout de son mode IA. Il était cependant prévisible qu'il serait bien plus performant que le mode standard. À mon avis, Philips serait mieux avisé d'utiliser le mode IA plutôt que le mode standard.
L'art de l'upscaling
Voyons comment se débrouille la TV lorsqu'il s'agit de mettre à l'échelle des contenus de qualité inférieure avec la technologie appelée « upscaling » ou conversion ascendante en français. Par qualité inférieure, j'entends les Blu-Ray classiques, la télévision ou encore The Walking Dead. La série a été délibérément tournée en 16 mm, pour restituer le grain ancien et le bruit d'image contribuant tous deux à renforcer l'impression d'un univers post-apocalyptique détruit.

Source : Netflix, qualité HD SDR. Timestamp : 00:02:30
Bon, ma première impression est très bonne. Mieux que l'A8 de Sony, par exemple. J'ai particulièrement apprécié le côté naturel de la TV OLED japonaise, mais ai été déçu par la mise à l'échelle. À cet égard, la GX de LG est ma préférée. Voyons voir si l'OLED805 de Philips fait le poids.
D'abord l'image de la Philips OLED805 en grand :

Source : Octobre 2020
Ce que le processeur fait avec l'arrière-plan est passionnant. Il est extrêmement lumineux et apparaît bleuté. C'est la première fois que je vois cette image comme ça. Sur les appareils des autres fabricants, le fond est presque noir, comme vous pouvez le constater sur les images ci-dessous.
Je ne sais pas si je préfère ou si j'aime moins cette image. En tout cas, je ne vois pas de bruit d'image et aucun artefact. Le visage de Negan est net, la barbe est bien définie, tout comme les ridules de son visage. C'est de l'upscaling de haut niveau. Du grand art.
Et maintenant la LG GX.

Source : Août 2020
Encore mieux selon moi. Bien que je doive chercher les différences à la loupe... Mis à part les ton beaucoup plus rouge et donc chaud bien sûr. Et c'est un bon point pour le processeur de Philips. C'est le plus proche que j'ai jamais vu du processeur A9 de LG.
Même le processeur Ultimate A1 de Sony ne s'en sort pas aussi bien.

Source : Septembre 2020
Contrairement à Philips et LG, on remarque immédiatement que la source n'est qu'en qualité HD. C'est-à-dire 1920×1080 pixels. Cela fait un total d'un peu plus de 2 millions de pixels. Les téléviseurs UHD offrent cependant une définition de 3840×2160 pixels, soit un peu plus de 8,3 millions de pixels. Le processeur se charge donc d'ajouter les informations manquantes
en calculant près de 75 % de l'image affichée. Sur les TV Philips et LG, je le remarque à peine quand je regarde The Walking Dead. Sur la TV Sony ce n'est pas la même histoire...
Ambilight, ça n'est pas vraiment pour moi
Parlons d'Ambilight, c'est-à-dire la technologie de Philips qui permet d'éclairer le mur derrière la TV dans les mêmes teintes que l'image affichée à l'écran grâce à des LED fixées à l'arrière de la dalle. Sur l'OLED805 de Philips, ces LED se trouvent sur le côté et sur le bord supérieur.
Voilà ce que ça donne dans un film d'action comme Les Gardiens de la Galaxie Vol.2.
Je ne suis pas fan du résultat. Ce halo de lumière me distrait beaucoup trop de ce qui se passe à l'écran. Le but déclaré de Philips est de créer des ambiances en « crevant l'écran » et en « créant une ambiance cinématique » grâce à l'inclusion du mur autour de la TV. Je ne sais pas exactement ce que les employés du marketing de la marque s'imaginent. En tout cas, ça ne rend pas l'expérience plus immersive. C'est même plutôt invasif, dans le sens où ça détourne mon attention de l'écran.
Mais bon, il est possible de désactiver Ambilight à tout moment, voilà une bonne fonctionnalité. Ensuite, il y a les modes Ambilight qui sont plutôt réussis. Par exemple, lorsque j'ai des invités à la maison (c'est plutôt rare en ce moment) et que je mets de la musique en fond sonore sur la télévision, Ambilight crée une ambiance là où, autrement, il n'y aurait qu'un trou noir dans l'appartement. Il existe même un mode musique dans lequel Ambilight ne règle pas la lumière en fonction de l'image, mais la laisse pulser au rythme de la chanson en cours. Voilà une fonctionnalité que je me vois carrément utiliser.
Quant aux autre modes Ambilight, je n'ai pas bien compris leur raison d'être. Par exemple, le mode « Sport », dans lequel absolument rien ne change autour du téléviseur après l'activation de la lumière. Le marketing de Philips déclare : « Soyez sur le terrain avec Ambilight. Allez droit au but avec le meilleur téléviseur pour regarder des matchs de foot. »
Comment dire... Ou pas.
Finalement, Ambilight est bien là, consomme de l'électricité, mais ne m'est pas vraiment utile. Mais c'est une caractéristique unique et on peut l'associer à un écosystème Philips Hue existant.
Son, TV connectées et connecteurs
Le son de l'OLED805 de Philips est étonnamment bon. Pas nécessairement à cause des deux haut-parleurs de 10 watts, mais grâce au woofer supplémentaire de 30 watts intégré à la dalle. Il est assez puissant et le son remplit bien la pièce. Cela rend le son beaucoup moins strident ou creux que ce que je craignais au départ.
Plus de bons points pour Philips.
Ça compense pour la maigre performance de la « Smart TV ». La TV OLED est dotée d'Android TV 9 Pie. Tout comme la A8 de Sony, d'ailleurs. Ou encore la X10 de TCL. Mais le système d'exploitation Android ne fonctionne vraiment bien qu'avec Sony. La version de Philips me semble un peu plus lente. Pas tout à fait aussi lente que celle de TCL, mais pas aussi lisse que celle de Sony. D'ailleurs, AppleTV devrait bientôt être disponible sur la TV de Sony malgré le système d'exploitation Android. Philips et TCL n'ont encore fait aucune annonce à ce sujet.
Mais la version Philips d'Android TV supporte à la fois le Dolby Vision et le Dolby Atmos sur Netflix et Disney+. Je n'ai trouvé aucun contenu Dolby Vision sur Amazon Prime Video. On dit qu'ils y sont extrêmement rares. La deuxième saison de Jack Ryan serait compatible Dolby Vision, mais je ne l'ai trouvée qu'en qualité HDR10. Il est tout à fait possible que l'application d'Amazon pour les TV connectées de Philips ne dispose pas d'une licence Dolby Vision.
Bilan
C'est chose faite, j'ai enfin testé une TV OLED de Philips. Sans tenir compte du support HDMI 2.1 manquant – un must pour les gamers – je pourrais résumer ce test en deux mots : « Génial, mais... »
Génial, parce que le mode Al fantastique. Malgré tout le blabla insensé du département marketing. Que vous jouiez des contenus HDR ou HDR-SDR : l'image est nette, les couleurs vives tout en restant naturelles. Enfin, il y a cette fluidité impressionnante, je suis en plein rêve.
Mais, il y a un mais. En effet, le black crush, certes occasionnel, arrive un peu trop souvent malgré les optimisations de l'image censées le réduire. Cela ne m'empêchera pas de surveiller les nouveautés de chez Philips à l'avenir. L'OLED805 m'a beaucoup trop plus pour que j'ignore la marque. Je vous le promets, chers lecteurs.


Vivre des aventures et faire du sport dans la nature et me pousser jusqu’à ce que les battements du cœur deviennent mon rythme – voilà ma zone de confort. Je profite aussi des moments de calme avec un bon livre sur des intrigues dangereuses et des assassins de roi. Parfois, je m’exalte de musiques de film durant plusieurs minutes. Cela est certainement dû à ma passion pour le cinéma. Ce que j’ai toujours voulu dire: «Je s’appelle Groot.»