
En coulisse
« Syndrome du loup-garou » : rappels et déclaration de notre boutique
par Darina Schweizer
Les trépieds n'ont joué qu'un rôle très secondaire dans ma vie. Jusqu'à aujourd'hui.
La visite des grands fabricants connus est un passage obligé lors d'un salon. Une fois que je l'ai fait, cela devient vraiment intéressant pour moi. Les petits fabricants exotiques avec des stands parfois étranges dont je n'ai jamais entendu parler sont la cerise sur le gâteau. Manuel Wenk et moi sommes donc constamment à la recherche de découvertes étranges à la Photokina.
C'est pourquoi nous avons visité le pavillon chinois dès le mercredi. Cependant, nous n'avons pas eu le temps de réaliser une vidéo ou même une véritable histoire. Aujourd'hui, le programme obligatoire était un peu moins strict, et nous sommes donc repartis à la recherche d'exposants intéressants. En route donc pour le pavillon chinois. Mais où était-il déjà ? Ou y en avait-il plusieurs ? Mon sens de l'orientation est légendairement mauvais, et Manu n'était pas non plus dans son meilleur jour aujourd'hui dans les catacombes confuses et totalement encombrées. Au lieu de nous retrouver dans le hall Chine, nous nous sommes donc retrouvés ... dans le hall des trépieds . Ou était-ce l'enfer des trépieds ? Car ce n'est pas seulement ici, mais aussi dans d'autres halls : Partout des trépieds de toutes les formes, couleurs et matériaux. Il semble y avoir un réservoir inépuisable de fabricants de trépieds. Apparemment, le monde a besoin de beaucoup de trépieds, car la loi de l'offre et de la demande dit qu'il n'y a de l'offre que là où il y a de la demande. En fait, c'est aussi une connerie, sinon Zurich n'aurait certainement pas été envahie par ces O-bikes chinois. Peut-être que la loi ne s'applique que lorsqu'aucun acteur du marché chinois n'est impliqué. Mais après une journée de salon bien remplie, je n'ai pas envie de m'attarder sur le sujet, j'ai juste envie d'une bière . Si je dois en boire plus d'une, je pourrai peut-être m'appuyer sur un trépied.
Mon intéret pour l'informatique et l'écriture m'a mené relativement tôt (2000) au journalisme technique. Comment utiliser la technologie sans se faire soi-même utiliser m'intéresse. Dans mon temps libre, j'aime faire de la musique où je compense mon talent moyen avec une passion immense.