En coulisse

Le Maroc en Fixie #1 : un départ semé d'embûches

Jonathan Perraudin und Christoph Zuidema
1/9/2018
Traduction: traduction automatique

Après leur dernier examen, Jonathan et Christoph partent à la découverte du monde. Pas en all-inclusive aux Canaries, mais au Maroc, sans rien : seulement avec leurs fixies et des bagages légers. Ils racontent ici leurs aventures.

Nos premiers jours en chiffres : 370 kilomètres, 2000 mètres de dénivelé, 4 kebabs, 10 pains au chocolat, environ 24 litres de boissons, 1 kilo d'oursons en gomme. Une alimentation optimale après une préparation optimale, qui est la clé d'un voyage réussi. Il nous reste exactement quatre heures après les dernières épreuves de Christophe, puis nous prenons la voie 7 pour Genève. De là, nous sommes en selle et commencent directement les deux plus longues étapes de notre voyage. En parlant de planification parfaite, Jonathan a oublié d'emballer les pantalons de vélo

Après les premiers kilomètres, nous rencontrons deux compagnons d'infortune, Jaques et Olivia. Équipés de sacoches et de vélos de randonnée, ils jettent un regard critique sur notre équipement. Mais nous n'avons pas le temps de faire de telles comparaisons. Comme nous n'arriverions jamais au Maroc à leur rythme, nous passons à la vitesse supérieure (du moins mentalement).

Le sauvetage par Louise

Au cours de notre voyage, nous cherchons toujours de l'eau potable. Et ce dans la vallée du Rhône. Aussi beau et idyllique que soit le paysage des villages français, les citoyens étaient trop conséquents pour notre projet et ont banni tous les supermarchés de leurs villages. Après une heure de marche à sec, nous apercevons Louise. Assise sur un banc, elle nous fascine par sa beauté, comme une sirène par son chant. Après quelques mots échangés et le commentaire qu'elle est déjà assez loin de son petit village pour aller dans ce village un peu plus grand où elle travaille comme coiffeuse, elle nous dit que le magasin du village n'est qu'à 50 mètres le long de la route. Nous avons du mal à croire que nous ne l'avons pas vu. Louise se rend probablement compte que ces deux étrangers sont un peu trop concentrés.

Où y a-t-il de l'eau ici ?
Où y a-t-il de l'eau ici ?

Au régime kebab

Comme nous sommes plutôt sportifs le premier jour, nous roulons jusqu'à la tombée de la nuit et ne trouvons qu'un restaurant gastronomique turc ouvert. La spécialité maison, le "kebab", s'avère parfaite après une journée bien remplie.

Le lendemain matin, nous nous levons à l'aube estudiantine (9h), achetons un pantalon de vélo à Jonathan et laissons derrière nous ce désert culturel pour attaquer les premières montées que nous ne sommes pas prêts à affronter.

Mieux vaut être bon à pied que mauvais en fixie.
Mieux vaut être bon à pied que mauvais en fixie.

Le professeur sert le café

Bientôt, le repas nous appelle. Nous, les deux naïfs, pensions pouvoir nous échapper du monde académique, mais dans le café de Thierry et de sa fille, c'est fini. Il a été professeur pendant vingt ans, puis a décidé d'ouvrir un café en l'honneur de sa mère. Au lieu de torturer les étudiants avec l'éducation, il fait maintenant le bonheur de ses concitoyens avec du café. Nous avons dû lui laisser une impression plutôt souffrante, car il nous propose à la fin de remplir nos gourdes - glaçons compris. L'homme sait comment rendre les cyclistes heureux!

Thierry et sa fille nous reconstruisent.
Thierry et sa fille nous reconstruisent.

Enfin, les études valent la peine

Enfin arrivés en Provence, nous avons une journée de libre devant nous. Que diriez-vous d'un petit tour de récupération sur le Mont Ventoux ? Eh bien... nous avons essayé et suivi notre GPS hors ligne. Mais, que voulez-vous, d'une manière ou d'une autre, nous nous sommes retrouvés avec le wakeboard au bord d'un lac.

En parlant de fails, ce voyage n'a pas été totalement exempt de pannes jusqu'à présent. Pour la deuxième fois de notre vie (la première pour faire la fierté des grands-parents), nous avons pu utiliser nos connaissances en mécanique pour quelque chose d'utile et réparer la roue arrière du vélo de Christophe.

Ce qui s'est passé d'autre:

  • En coulisse

    Au Maroc en Fixie #7 : Terre en vue !

    par Jonathan Perraudin und Christoph Zuidema

Vous découvrirez ici comment Jonathan et Christoph ont décidé de raconter leur expérience pour Galaxus. [[marketingpage:8622]]

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Cet été, nous partons de Zurich, nous essayons le skidden avec des fixies, nous passons des cols à toute vitesse et nous ne nous arrêtons qu'une fois arrivés sur les plages du Maroc.


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